NOTRE BUREAU
La Filiale du Comité International pour la Protection des Droits de l’Homme en Sierra Leone
Particulièrement concerné par les 8 objectifs millénaires du développement édictés par l’ONU le CIPDH soutient l’effort de la communauté internationale visant à éradiquer les fléaux qui empêchent les peuples de se développer harmonieusement. Au niveau de l Afrique le CIPDH a une implantation locale très ancrée ( Gabon, Cote d’ivoire etc…) et suit de très près les problématiques des droits de l home liées à l’ essor du continent.
Très respectueux des cultures et des traditions africaines le CIPDH ne perds jamais de vue les réalités propres au continent lors de ses nombreuses activités.
L’action du CIPDH en Afrique se décante à plusieurs niveaux :
1) La charte africaine des droits de l’homme et des peuples.
Le CIPDH soutient la promotion et la vulgarisation d’un texte très important: La charte africaine des droits de l homme et des peuples. La charte africaine des droits de l homme et des peuples a été adoptee le 27 juin 1986 à Nairobi ( Keynia) lors de la 18ème Conférence de l’Organisation de l’Unité Africaine. Elle est entrée en vigueur le 21 octobre 1986 , après sa ratification par 25 États. Elle s’appuie sur la Charte de l’Organisation de l’Unité Africaine et la Charte des nations unies ainsi que sur la Déclaration universelle des droits de l’homme tout en « tenant compte des vertus de leurs traditions historiques et des valeurs de civilisation africaine qui doivent inspirer et caractériser leurs réflexions sur la conception des droits de l’homme et des peuples » (préambule de la Charte). Elle place au même niveau que les droits de l’homme d’une part le droit des peuples africains à disposer d’eux-mêmes face au monde extérieur et d’autre part les devoirs de l’individu envers la famille et l’État. Elle définit donc un dispositif dans lequel indépendance nationale, tradition, cohésion sociale et autorité (dès lors que cette autorité n’est pas imposée par une puissance coloniale) sont des valeurs aussi importantes que les droits de l’homme au sens individuel, qui ne sont donc plus des droits au-dessus des autres.
2) Le principe de solidarité
Le CIPDH soutient et promeut la philosophie du financement solidaire. Son principe est le suivant ; Nous sommes tous citoyens d’un monde de plus en plus interconnecté, interdépendant, engendré par la mondialisation. Cette globalisation positive à bien des égards est aussi la cause d’inégalités sociales qui menacent d’augmenter de façon exponentielle. La réponse à cette dérive? Participer à la création d’un capitalisme nouveau basé sur des contributions de solidarités et ainsi créer un nouveau type de gouvernance plus juste et plus humain.( rappel : aujourd’hui , 1,5 milliard de personnes vivent avec moins de 1,25 dollar (1 euro) par jour ; un enfant meurt toutes les trois secondes d’une maladie évitable et curable (paludisme, diarrhée, tuberculose,sida…) et 500 000 femmes meurent chaque année des complications d’une grossesse ou d’un accouchement.)
3) La transversalité dans l’approche de la protection de la nature.
Le CIPDH soutient la lutte générale pour la protection de l environnement et plus particulièrement vise à rendre publique et à faire comprendre l’aspect transversal de cette lutte notamment à travers la lutte contre le braconnage. Le braconnage est devenu un vecteur d’insécurité mais aussi une source de financement pour les organisations rebelles », rappelle la communauté internationale, saisissant la menace dans la globalité de ses conséquences politique. : On parle de criminalité en matière d’espèces sauvages, et il y a un impact majeur du braconnage sur la paix et la sécurité en Afrique.
La situation des droits humains en Sierra Leone s’est progressivement améliorée depuis la fin de la guerre civile en 2002, mais des défis subsistent. Bien que les libertés fondamentales comme la parole soient pour la plupart respectées, des rapports font état de restrictions de réunion et d’une force excessive de la part de la police. La corruption et la violence contre les femmes sont également des préoccupations. Des mesures positives ont été prises, comme l’abolition de la peine de mort, mais garantir la responsabilisation et améliorer les conditions de détention restent des problèmes permanents.
M. SESAY ALHAJI ABU
ADRESSE DE BUREAU
Sierra Leone. Freetown.
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